L'étude compare les données de 1994 et 2011 à Lausanne, Genève, Berne et Yverdon-les-Bains.

"La population des agglomérations analysées se montre désormais très disposée à utiliser d’autres moyens de transports que l’automobile. C’est un atout pour mener des politiques visant à développer l’écomobilité", résume le directeur de l'étude, Vincent Kaufmann.

Les bouleversements observés sont liés aux représentations des moyens de transports qui, elles aussi, ont énormément évolué. De fascinante, la voiture est aujourd’hui vue comme polluante,parfois plus nuisible que bénéfique. Le crédit qu’elle a perdu, les transports publics l’ont gagné.

Une synthèse et l’étude «Typologie et évolution des logiques de choix modal chez les actifs motorisés urbains» sont disponibles en français sur : http://transport.epfl.ch/mode_choice

A quand une étude comparable sur des villes françaises ?